Blogue de Frederic Gonzalo

GEO vs SEO

GEO vs SEO – Quelles différences et quels impacts sur la visibilité en ligne

Dans la première partie de cette série, nous avons exploré ce qu’est la Generative Engine Optimization (GEO) et pourquoi l’essor des moteurs de recherche à IA change la donne pour quiconque souhaite être visible en ligne. Passons maintenant au nerf de la guerre : en quoi le GEO diffère-t-il vraiment du SEO (Search Engine Organization) traditionnel, et quels sont les impacts concrets de ces changements sur votre visibilité numérique ?

SEO vs GEO : en quoi ça diffère ?

On pourrait croire que le GEO n’est qu’un nouvel acronyme à la mode pour parler de SEO. En réalité, bien que le GEO s’appuie sur les fondations du SEO, son modus operandi est un peu différent. Voici les principales différences à comprendre entre l’optimisation pour les moteurs de recherche classiques (SEO) et l’optimisation pour les moteurs génératifs d’IA (GEO).

Format des résultats : du Top 10 de liens à la réponse directe

La première différence, et sans doute la plus évidente pour l’utilisateur, c’est la présentation des résultats. En SEO traditionnel, une requête typique aboutit à une page de résultats (une SERP) affichant une liste de liens classés par ordre de pertinence. L’internaute doit alors cliquer sur le lien qui lui semble le plus prometteur, voire en essayer plusieurs, jusqu’à trouver sa réponse. Avec le GEO, ce schéma vole en éclats. La réponse recherchée est directement fournie sous forme d’un texte rédigé par l’IA, souvent agrémenté de références entre parenthèses.

Exemple de résultat de recherche dans Google, qui préconise dorénavant un résultat généré par l’IA, sous forme de texte, avec sources référentes si on veut pousser l’enquête plus loin.

En d’autres termes, le moteur de recherche devient moteur de réponse. Au lieu de “10 liens bleus” à explorer, l’utilisateur obtient une seule réponse synthétique, éventuellement suivie de quelques suggestions de sources additionnelles. Par exemple, une recherche Google classique pour « hôtels boutique à New York » listera dix liens vers des sites d’hôtels ou des articles du style “Top 10 des hôtels…”. Une requête équivalente posée à une IA générative pourrait donner : « Je vous recommande l’Hôtel XYZ pour son spa sur le toit et sa vue sur Central Park (source : xyz.com) ainsi que l’Hôtel ABC pour son cachet historique (source : abc.com). » Dans ce scénario, l’IA ne retient que quelques options triées sur le volet et en fait une réponse succincte. Pour les spécialistes du marketing, cela signifie que l’objectif n’est plus d’être “l’un des 10 liens” visibles, mais d’être LA source choisie parmi toutes.

Critères de pertinence : des mots-clés au contexte et à l’autorité

En SEO traditionnel, optimiser un contenu revient souvent à travailler une multitude de facteurs pour plaire aux algorithmes des moteurs de recherche : balises meta, densité de mots-clés, netlinking (backlinks), performance du site (vitesse, mobile-friendly), etc. Ces éléments comptent toujours en GEO – après tout, les IA s’appuient en grande partie sur le web existant, et donc sur des pages que le SEO classique a aidé à propulser en haut des résultats. Cependant, les moteurs génératifs ajoutent leurs propres critères par-dessus.

Lire aussi: 10 facteurs critiques pour un référencement optimal (SEO)

Les modèles d’IA de type LLM (Large Language Models) ne se contentent pas de faire correspondre des mots-clés dans une page : ils interprètent le sens et le contexte du contenu. Ils cherchent à fournir des réponses exactes, complètes et fiables. Ainsi, un contenu simplement truffé de mots-clés a peu de chances d’être sélectionné par l’IA s’il manque de substance. Au contraire, les moteurs génératifs vont privilégier les contenus qui démontrent de la clarté, de la factualité et de l’autorité. En pratique, cela signifie qu’un article bien structuré, riche en informations concrètes et à jour sur un sujet donné aura plus de valeur aux yeux de l’IA qu’une page superficielle répétant 50 fois le même mot-clé.

Pour imager cela, pensez à un blog de voyage. Une page intitulée “Conseils pour voyager en famille” qui offre un guide complet avec des anecdotes, des chiffres, des recommandations précises aura plus de chances d’être jugée utile par l’IA qu’une page intitulée “Voyage famille pas cher” bourrée de mots-clés mais sans vraie info nouvelle. Le GEO implique donc de pousser plus loin la qualité du contenu. Google nous y incitait déjà avec le SEO, mais l’IA vient renforcer cette exigence de pertinence contextuelle.

En outre, les IA accordent de l’importance à l’autorité perçue d’un site ou d’une source. Un contenu qui cite ses sources, qui s’appuie sur des données vérifiables, sera jugé plus fiable. De même, un site qui bénéficie de nombreux backlinks de qualité ou d’une bonne réputation aura plus de chances d’être choisi comme référence. On voit donc que SEO et GEO se rejoignent sur de nombreux points (qualité, autorité, technique), mais le GEO met la barre encore plus haut en termes de profondeur sémantique et de crédibilité du contenu.

Intention de recherche : des requêtes ciblées aux questions conversationnelles

Le SEO classique nous a habitués à réfléchir en termes de mots-clés et d’intentions de recherche types: informationnelle, transactionnelle, navigation, etc. On cherche à anticiper ce que l’utilisateur va taper dans Google – parfois de façon très télégraphique, du genre “hôtel pas cher Paris” – pour aligner notre contenu sur ces termes. Avec les IA conversationnelles, les internautes formulent leurs requêtes de façon plus naturelle et souvent plus complexe. Ils vont poser de vraies questions, parfois multi-parties, exactement comme ils le feraient en parlant à un humain.

Ainsi, là où un SEO aurait pu cibler le mot-clé “hôtel vs Airbnb Londres”, un utilisateur va demander à l’IA : « Est-ce mieux de séjourner à l’hôtel ou en Airbnb à Londres pour un voyage d’une semaine ? » La réponse de l’IA ne se contentera pas de balancer une liste d’hôtels et d’Airbnb ; elle tentera de fournir un conseil nuancé, peut-être du style : « Pour un séjour d’une semaine à Londres, un hôtel offre l’avantage X… tandis qu’un Airbnb permet Y… Choisissez en fonction de Z. (sources : blog_voyage.com, magazine_tourisme.uk) ».

Pour les créateurs de contenu, cela signifie que la stratégie GEO doit anticiper et répondre à des questions plus riches que de simples combinaisons de mots-clés. Il faut se mettre dans la peau de l’utilisateur qui converse avec l’IA : Quelles questions pourrait-il poser ? Quelles sous-questions en découlent ? Par exemple, un OBNL environnemental pourrait penser aux questions du type : “Comment puis-je réduire mon empreinte carbone au quotidien ?”, “Est-ce que le recyclage des piles en vaut la peine ?” ou “Quel OBNL à Montréal accepte des volontaires pour des nettoyages de parcs ou corvées publiques ?”. Ce sont des formulations naturelles que l’IA recevra sûrement. Un bon contenu GEO chercherait à y répondre directement, par le biais d’articles de blog au format Q/R, de guides pratiques ou de FAQ bien faites.

En somme, là où le SEO nous faisait cibler des expressions clés, le GEO nous pousse à couvrir des thèmes et des questions entières de manière approfondie. On passe d’une logique de “je veux apparaître sur tel mot-clé” à “je veux être celui qui apporte la meilleure réponse à telle question”. C’est un glissement subtil mais puissant vers une approche plus centrée sur l’utilisateur et ses vraies interrogations. Et cela rejoint finalement l’esprit même du marketing de contenu : apporter de la valeur, éduquer, conseiller honnêtement, plutôt que juste « positionner des mots-clés ».

Mesure du succès : du clic à la mention de la marque

Dernière grande différence – et non la moindre – la manière de mesurer le succès d’une optimisation GEO risque d’évoluer par rapport aux indicateurs SEO traditionnels. En SEO, on scrute souvent des métriques comme le classement sur les mots-clés, le taux de clic (CTR) depuis Google, et bien sûr le trafic organique généré vers le site. L’objectif ultime étant que l’internaute clique sur notre lien et arrive sur notre site web. Avec les réponses génératives, on assiste à l’ascension du phénomène “zero-click” poussé à l’extrême : l’utilisateur peut obtenir sa réponse sans jamais quitter la page de l’IA ou du moteur. Par conséquent, il est tout à fait possible que votre marque soit visible dans la réponse… sans pour autant que le lecteur ne clique sur votre site.

Lire aussi: La recherche sans clic, un phénomène à la hausse

Du point de vue de la visibilité, se faire mentionner dans la réponse de l’IA devient un succès en soi. Même si l’utilisateur ne visite pas votre site à ce moment-là, il a vu passer le nom de votre marque, de votre produit ou de votre organisation dans un contexte favorable, soit celui d’une recommandation ou d’une information utile. C’est une nouvelle forme d’impression de marque, plus subtile, sans clic mais potentiellement influente. On peut comparer cela à une citation dans un article de presse : on ne mesure pas ça en trafic direct, mais en notoriété et en crédibilité gagnée.

Bien sûr, au final on souhaite toujours que l’utilisateur accomplisse une action concrète: réserver, acheter, s’abonner, etc. Mais avec le GEO, le parcours risque d’être plus long ou détourné. L’internaute peut très bien se contenter de la réponse de l’IA sur le moment, puis revenir plus tard chercher votre site s’il a vraiment été convaincu par la mention. Il faudra donc apprendre à suivre d’autres types d’indicateurs, par exemple le nombre de fois où votre marque est citée dans des réponses (ce qui n’est pas évident à mesurer aujourd’hui, on va se le dire), ou l’évolution des requêtes de marque: peut-être que l’IA n’a pas généré un clic, mais l’utilisateur va ensuite taper le nom de votre entreprise directement. Le tunnel de conversion pourrait se modifier, et nos KPIs avec lui.

L’important à retenir, c’est que le GEO élargit la notion de “réussite” au-delà du simple clic immédiat. Si votre restaurant est mentionné par l’IA comme l’un des meilleurs en ville, c’est déjà une victoire, même si le lecteur ne clique pas tout de suite. Votre nom a gagné en crédibilité. C’est un changement de mentalité pour les marketers : on passe d’un raisonnement pur de volume de trafic à une réflexion sur la qualité de la visibilité. En d’autres termes, être dans la réponse est le premier gain – le clic viendra peut-être plus tard.

Avant de clore cet article sur les différences, soulignons que le GEO n’est pas là pour remplacer le SEO, mais pour le compléter. Pensez au GEO comme une évolution naturelle du SEO dans un contexte nouveau. Les fondamentaux du SEO – un site techniquement sain, du contenu de qualité, une autorité construite sur la durée – restent payants, voire plus que jamais puisque ce sont souvent les pages les mieux référencées qui alimentent en priorité les IA. Le GEO, c’est en quelque sorte la spécialisation SEO “IA” qu’il vous faut intégrer à votre stratégie globale. Maintenant que l’on saisit mieux la théorie, regardons les conséquences pratiques de tout cela.

Quels impacts concrets sur votre visibilité numérique ?

Concrètement, qu’est-ce que ça change pour la visibilité en ligne de votre organisation ? En réalité, ces différences SEO/GEO entraînent des impacts majeurs sur la manière dont les internautes risquent (ou non) de vous trouver. Voici les principaux impacts à prévoir :

Moins de clics directs vers votre site

Avec des réponses satisfaisantes livrées directement par l’IA, on observe déjà une tendance à la baisse du nombre de clics sur les résultats organiques classiques, le fameux zero-click search. Si l’IA répond parfaitement à la question de l’utilisateur, pourquoi irait-il forcément sur votre site ? On parle de recherche sans clic lorsque l’utilisateur obtient sa réponse sans cliquer nulle part, et c’est un phénomène en croissance. Par exemple, si quelqu’un demande « À quelle heure ferme la boutique XYZ le samedi ? » et que l’IA répond « À 17 h, comme indiqué sur le site de XYZ », l’utilisateur a eu son info sans visite – sauf peut-être un petit crédit vers la source.

Pour les gestionnaires de sites web, c’est un changement potentiellement anxiogène : votre contenu peut très bien servir l’utilisateur sans générer de trafic. On l’a déjà vu avec les featured snippets de Google (ces encadrés qui affichaient un bout de réponse en haut de la page) – l’IA pousse la logique encore plus loin. Il va donc falloir repenser la manière d’attirer et de capter l’audience. Cela passera par le fait d’être dans la réponse pour au moins avoir une mention, puis de travailler d’autant plus le “suivi” de l’utilisateur. Peut-être qu’au lieu d’un clic direct, on gagnera en recherches de marque (quelqu’un voit votre nom et le retient pour plus tard). Peut-être aussi que la conversion se fera via un autre canal (réseaux sociaux, publicité, infolettre, etc.) une fois la confiance établie grâce à la mention initiale. Quoiqu’il en soit, il faudra surveiller de près l’évolution de votre trafic organique sur les requêtes informationnelles : une baisse ne signifiera pas forcément que vous avez tout perdu, si en parallèle votre notoriété grimpe ou que les conversions se maintiennent.

Effet “winner takes all” : une visibilité concentrée

Dans le monde du SEO traditionnel, même si vous n’étiez pas premier sur un mot-clé, vous pouviez gratter un peu de visibilité en étant deuxième, troisième, ou même via des résultats en page 2 pour les plus patients. Avec les réponses génératives, on est plutôt dans le tout ou rien. L’IA ne va souvent mettre en avant qu’une ou deux sources dans sa réponse finale. Pour la requête de l’utilisateur, cela revient à dire que le “gagnant rafle la mise” en matière de visibilité. Si votre concurrent est cité et pas vous, il gagne 100 % de l’attention de l’utilisateur, là où auparavant vous auriez pu capter au moins une partie des clics en apparaissant à ses côtés sur Google.

Ce phénomène pousse à la compétition pour être LA source choisie. Par analogie, on passe d’une compétition de classement (qui sera n°1, n°2, n°3…) à une compétition de sélection (qui sera l’élu de l’IA). C’est un peu comme si une seule place importait vraiment – celle d’être cité dans la réponse – alors que le SEO nous avait habitués à une distribution plus diffuse du trafic. Pour les marques, cela veut dire qu’il faut viser l’excellence sur les sujets où vous voulez être présent. Le contenu “moyen plus” qui suffisait parfois à vous maintenir sur la première page Google ne suffira probablement pas à vous faire choisir par une IA. D’où l’importance, comme on l’a vu, d’avoir le contenu le plus pertinent et digne de confiance possible sur votre niche.

Par ailleurs, cet effet “one winner” peut varier d’une plateforme à l’autre. Certaines IA comme Perplexity vont citer plusieurs sources et inciter à cliquer, tandis que d’autres vont être plus avares en références. Mais la tendance générale reste que l’utilisateur n’aura pas vent de tous les acteurs sur un sujet, juste de ceux que l’IA a mis en avant. Pour prendre un exemple concret : si une personne demande « Quelle est la meilleure organisation caritative pour aider les sans-abris à Québec ? » et que l’IA répond « L’OBNL BonneAction est souvent recommandée pour son efficacité (source : bonneaction.org) », il y a fort à parier que l’utilisateur ne cherchera pas plus loin et considérera BonneAction comme la référence. Les autres organismes, même s’ils sont tout aussi méritants, n’auront tout simplement pas eu voix au chapitre dans cette interaction.

Visibilité dès la phase d’inspiration

Un autre impact notable du GEO, c’est l’importance accrue des premières étapes du parcours client. Avec les outils d’IA, les internautes ont tendance à les solliciter très tôt dans leur réflexion, parfois même avant d’avoir une idée précise de ce qu’ils cherchent. Par exemple, un voyageur pourrait demander : « Où aller en week-end romantique pas trop loin de Montréal ? » à une IA. Ou un consommateur curieux : « Quelles sont les nouvelles tendances de la mode éthique en 2025 ? ». Ces questions d’inspiration, qui autrefois se diluaient entre blogs, Pinterest, Instagram et recherches Google générales, peuvent maintenant trouver des débuts de réponse via l’IA.

Pour les marques et destinations, c’est à double tranchant. D’un côté, une opportunité : si vous avez du contenu adapté, vous pouvez être présent dès la phase de rêverie/découverte de l’utilisateur. Imaginons un office de tourisme régional qui a publié un super article « 10 escapades romantiques au Québec méconnues du grand public ». Si l’IA s’en inspire pour répondre à notre voyageur en mal d’idées, votre région sort du lot très tôt, avant même que la personne ne commence à comparer concrètement les hébergements. Idem pour un détaillant : un blog sur « les tendances mode éthique » qui se fait citer place votre marque dans l’esprit du lecteur dès le début de son parcours d’achat éthique.

D’un autre côté, il faut être conscient que si vous n’êtes pas présent sur ces requêtes larges d’inspiration, vous pourriez être écarté du processus en amont. Le risque, c’est que l’IA oriente l’utilisateur vers d’autres options et que vous n’ayez même pas l’occasion d’entrer en considération plus tard. Dans le parcours de recherche traditionnel, un utilisateur aurait pu tomber sur plusieurs marques en fouillant lui-même diverses sources. Avec l’IA qui fait un pré-tri, il se peut qu’il n’entende jamais parler de vous si vous ne faisiez pas partie des sources initiales consultées.

Cet impact rejoint l’idée qu’il faut élargir votre champ de contenus pour couvrir aussi les questions périphériques liées à votre domaine, y compris celles que posent les gens au début de leur réflexion. Pensez “contenu haut de l’entonnoir” adapté à une réponse IA : inspirant, informatif, non axé vente directe, mais qui vous positionne comme une référence sur le sujet.

Adapter sa stratégie… ou risquer de disparaître

Bref, l’impact le plus global qu’on puisse souligner, c’est que ne pas s’adapter au GEO risque de diminuer drastiquement votre visibilité en ligne à moyen terme. On a vu que moins de clics, plus de concurrence pour être la source unique, et de nouvelles formes de requêtes modifient la donne. Pour une entreprise ou organisation qui ignore ces évolutions, le danger est réel : vous pourriez constater une baisse de trafic organique, une érosion de votre notoriété en ligne (au profit de concurrents plus “compatibles IA”), et plus généralement un manque à gagner en termes d’attention de votre audience cible.

Cela peut sembler alarmiste, mais l’objectif ici n’est pas de faire peur, plutôt de motiver à l’action. La bonne nouvelle, c’est que ceux qui bougent vite auront un avantage concurrentiel notable. Actuellement, le GEO en est encore à ses balbutiements : tout le monde en parle, mais peu d’acteurs ont vraiment optimisé leurs contenus pour les IA. C’est donc le moment idéal pour expérimenter et prendre les devants. Un peu comme le SEO dans les années 2000 ou les réseaux sociaux dans les années 2010 : ceux qui ont investi tôt ont pu récolter de gros bénéfices avant que la concurrence ne se généralise.

En somme, les impacts concrets du passage à la recherche générative se résument ainsi : moins de trafic direct mais pas moins de pouvoir d’influence, concentration de la visibilité sur un ou deux acteurs par requête, importance de la qualité de contenu plus que jamais, et nécessité d’être présent dans les discussions dès le début. C’est un défi passionnant à relever pour les marketers et producteurs de contenu.

La question suivante, naturellement, c’est comment s’adapter ? Quels ajustements pratiques apporter à votre stratégie web pour embrasser le GEO ? C’est précisément ce que nous aborderons dans le troisième et dernier volet de cette série. Nous y partagerons des stratégies concrètes pour optimiser vos contenus à l’ère de l’IA, ainsi que quelques conseils additionnels pour naviguer intelligemment dans ce nouveau paysage. À ce stade, vous avez compris le “quoi” et le “pourquoi” ; place au “comment” ! Rendez-vous dans le prochain article pour passer à l’action.

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